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Joseph Kabila, Osama Bin Laden, Sadam Hussein, Kadafi et Savimbi

Qui a peur de qui ? Joseph Kabila est-il un grand peureux qui se cache comme un rat mouillé ?

Il sème la mort partout en RDC comme un distributeur automatique de la mort. Il accule son concurrent politique, Moise Katumbi avec des procès bidon. Il tord le cou de la justice pour ne pénaliser que ses ennemis politiques et les journalistes — comme notre confrère Eliezer — qui osent lever la voix. Il ouvre la boite de Pandore sur la nationalité pour marginaliser son concurrent politique davantage alors que lui-même et ses sénateurs portent la double nationalité. C’est l’imbroglio total !

« La conscience flagelle les mauvaises actions ; toujours craindre, toujours s’alarmer, est le propre des coupables. La bonne conscience cherche le jour et les regards ; le méchant a peur des ténèbres mêmes » disait Ambroise Rendu.

Dans l’entretemps, instinctif comme un animal, il reste caché dans on ne sait quel trou à Kinshasa et n’a de comptes à rendre à personne, jouissant de la proverbiale « sécurité par l’obscurité ». Il pourrait sortir de ce trou — que même nos fins limiers n’arrivent pas à identifier — six mois plus tard… finalement, qui a peur de qui ? Celui qui vit dans la lumière ou celui qui vit terrifié comme un rat mouillé dans l’obscurité ? Rappelez-vous de Saddam Hussein, Mouammar Kadhafi et même Ben Laden ? Quel fut leur sort ?

De très bonnes sources, nous avions appris que le général de la DEMIAP, Delphin Kahimbi et le patron de l’ANR Kalev Mutond avaient découvert une cache importante des armements et plusieurs mercenaires dans une parcelle prés de la GB a Kinshasa. Relayant cette découverte importante à Joseph Kabila, le général Kahimbi se fut rabrouer comme une vermine. Aussi, ne voulant pas expliquer comment il était tombé sur cette cachette, le général Delphin Kahimbi se fondit en un million d’excuses pour ne pas bruler ses sources.

Il ya plusieurs milices et mercenaires dans la ville de Kinshasa et dans la périphérie. Le General John Numbi possède ses propres milices qui n’obéissent qu’à lui et au moindre signalement, ils sont prêts à semer la mort à Kinshasa.

Mais à quoi servent toutes ces milices si l’homme qui doit être protégé vit caché comme un rat ? « Il est une lâcheté plus grande encore que celle d’avoir peur d’autrui, c’est de se mettre, à force de crimes, à l’abri de la peur que l’on inspire », nous dit Alfred Auguste Pilavoine. Joseph Kabila vit dans un trou comme un rat et quand il se déplace, c’est une armada de guerre qui l’accompagne dans nos rues. Finalement, qui a peur de qui ?

Joseph Kabila n’a pas un milligramme de courage dans son sang. Il ne peut que semer la mort et vivre caché. N’est-ce pas qu’il avait promu de rencontrer les chevaliers de la plume chaque mois ? A l’opposé, n’est-ce pas que le maréchal Mobutu avait lui même pilote un C130 avec des para commandos congolais qui avaient sauté sur Kolwezi ? N’est-ce pas que Laurent Désiré Kabila encourageait lui même à Ndjili les militaires pour chasser les envahisseurs rwandais lors de la deuxième guerre de 2 aout 1998 ? N’est-ce pas qu’on a vu Moise Katumbi à Bruxelles, Afrique du Sud au milieu des siens.

Les conflits ethniques déchirent nos frères Hemas et Lendus dans l’Ituri, mais il a peur d’y aller pour pacifier les deux ethnies. Les islamistes cherchent a proclamé un autre califat a Béni, mais l’homme qui avait prêté serment devant Dieu et la nation de protéger nos populations et nos biens a peur d’y aller. Voilà... C’est un grand peureux comme nous avait confiés André Kimbuta.

Il ne sait même pas ce qui se passe à Barumbu, Lingwala, Matete, Zone du Kenya à Lubumbashi et j’en passe. Joseph Kabila a même peur de son ombre et il voit son adversaire politique, Moise Katumbi un peu partout.

Une sagesse que nous créditons à Henri-Frédéric Amiel nous dit que « lorsqu’on a peur de tout et qu’on doute de tout, on se pousse soi-même vers la tombe ». Mais dans le cas Joseph Kabila, il ne partira pas seul dans la tombe.

C’est pour cela que nous plaignons les traitres fils du terroir tels que Ramazani Chadari, Albert Yuma, André Alain Atundu, Édouard Mokolo wa Mpombo, Alexi Tambwe Mwamba, Flory Numbi Kabange, Lambert Mende, Marcellin Cishambo, Aubin Minaku, François Olenga, Matata Mponyo, André Kimbuta, le général John Numbi qui forment encore avec l’armée, le socle de son pouvoir agonisant.

Tôt ou tard, les traitres subiront le sort reservé aux traitres.

Un homme averti en vaut deux.

 

 

 

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