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Joseph Kabila, 100% Rwandais

UN COMPAGNON DE MZEE KABILA DEBALLE LE GRAND SECRET DE JOSEPH KABILA ET SES PARENTS RWANDAIS

Lorsque vous recevrez cet audio, essayez de la partager à tous les Congolais, partout qu’ils soient ici au Congo. Nous avons un récit que je voudrais vous relater sur Mzée Kabila et Kanambe Xavier. [Se répétant] Masoso, Kalukula, Bandi A Inga, Mzée Kabila, et Kanambe Xavier. Ce sont de gens avec qui nous étions en forêt ensemble pour créer la rébellion.  Les gens que je viens d’énumérer [étaient avec nous] quand nous avions quitté Hewa Bora, pour entrer chez le Mzée Etongo à Kabingu.

1. Nous avons fait la guerre là-bas et nous avions attrapé une jeune dame. Cette jeune dame avait été prise en embuscade [inaudible]. Nous sommes allés avec elle jusqu'à Hewa Bora.

2. Quand nous sommes arrivés à Hewa Bora, le Quartier Général du Mzée Kabila,  chez Kabila lui-même. Nous sommes restés avec elle, une jeune femme rwandaise et Kanambe Xavier était rwandais.

3. Nous avions encore recommencé la guerre, avec de bombardement pour aller chercher du sel et de manioc parce qu'il n'y avait pas grand-chose à Hewa Bora. Il y avait la famine. Il n’y avait vraiment pas de nourriture. Nous avions obtenu beaucoup de nourriture que nous ramenions à Hewa Bora.

4. Nous sommes descendus à Kilembwe pour faire la guerre, nous trouvions du sel avec d’autres choses et nous remontions à Hewa Bora. Quand nous étions à Hewa Bora, le nom de Rebel était terminé. Nous étions alors connus au nom de Muzingire.

5. Quand MULULA avait envahi Kilembwe, nous sommes allés nous battre à Kilembwe. MULULA avait attrapé un garçon en embuscade. Il avait attrapé Masengo. Nous chantions [par-après] alors que « MULULA était mauvais car il avait amené Masengo au Katanga pour le faire tuer.  Il fallait maitriser la peur pour mourir comme de géants »].

6. C'était une chanson qui était chantée à Hewa Bora, pour nous souvenir de notre ami qui avait été capturé par le [frère] MULULA à Kilembwe. Maintenant, la guerre avait continué dans la zone FIZI. [Cependant], moi qui vous parle ici je suis un Rwandais, et en ce moment précis je suis à un endroit appelé Rutabura.

7. Nous avions continué avec la guerre. Après la guerre, nous avons continué à nous battre. La dernière bataille — comme je ne vais pas entrer dans beaucoup de détails — nous sommes allés combattre à MOBA.  Moi qui vous parle ici, avec Kalukula, Masoso, Ayinga Bandi, Mayumbu, et Le Mzée Kabila lui-même étaient présent. Et celui qu’on appelé KANAMBE XAVIER était présent.
8. Aussitôt, la femme de Kanambe Xavier est tombée enceinte de deux mois. Elle était belle et adorable. Une très belle femme charmante. Nous descendions jusqu'à Moba.

9. Nous avions fait notre premier conseil de guerre à Moba.  Mzée KABILA dit que nous allions commencer la guerre dans la zone de FIZI. Nous objections en lui disant que cela faisait longtemps que la zone de FIZI était en guerre. D’où venez-vous ?

10. KABILA répondit qu’il était de MOBA. Alors si vous êtes de Moba, allons-nous en à Moba pour y commencer la guerre. Nous allons commencer à Moba et ensuite remonter vers la zone de FIZI.

11. Mzée KABILA n’avait pas refusé. En ce moment, la femme de Kanambe Xavier était enceinte. - Nous étions encore au front et nous voulions aller combattre à Moba. Quand Mme Kanambe Xavier est venue, elle a dit au  Mzée Kabila: «J'ai rêvé que mon mari Kanambe va mourir là-bas, alors il faut qu’il reste ».  Mzée KABILA lui dit ceci. « Kanambe est mon bras droit. S’il reste il n'y a rien que nous puissions faire  là-bas ».

12. Le frère était un grand guerrier, un grand soldat, c’était homme extraordinaire. Alors nous nous rendions à Moba et nous arrivions vers quatre heures du matin. Nous faisons un tour de reconnaissance et nous prenions position. Notre position était bonne et nous attaquions Moba. En moins de quelques heures, nous avions pris Moba jusqu’à l'aéroport.

13. Alors l’occupation continua. Nous avions bien gagné le territoire. Nous avions [renforcer] notre position. Coupant la route de Kasongo, Kindu et la route pour aller à Lubumbashi. Nous avions tout bloqué.

14. Mais après une brève période, nous avions vu  arriver des hélicoptères. Nous avions été pilonnés et nous prenions fuite, nous éparpillant. Ceux qui avaient suivi le grand homme durent mourir. Nous escaladions la montagne essuyant des bombardements. [Le nez éclaté],  Mzée Xavier, avait reçu de balles. Apres qu’il reçut de balles il dit ceci : « Je suis blessé, la guerre doit se terminer dans la zone de FIZI ».

15. Nous sommes montés ensemble sur la colline, lui demandant « voulez-vous une aide avec votre arme ? », il refusa. Nous demandions, « voulez-vous qu’on vous porte sur un brancard ? », il refusa.

16. A l'endroit où nous allons dormir, il nous dit ceci: « Dites à Kabila de garder ma femme que j’avais laissé enceinte de deux mois. Pour ce faire qu’il me prenne soin de ma femme et l’enfant qui sera né, qu’ils les protègent ».

17. Nous sommes donc avec  Yombo,  Kalukula, Masoso, et lui venait de mourir. Alors nous étions restés là-bas pendant trois jours. Après l’enterrement, nous remontions la colline.

18. Kanambe fut enterré. Nous étions parti jusqu’à Hewa Bora. KABILA avait reçu des informations au moment de la mort de Kanambe. Il avait fait 15 minutes de silence sans être en mesure de parler. Nous attendions que Mzée parle [en vain]. Apres s’être ressaisi, il se redressa et dit : « mes frères je sais que Kanambe vient de mourir, mais nous devions continuer la guerre, en commençant encore par FIZI ».

19. Nous savions que Kanambe avait laissé la charge de sa femme [à Kabila], et Mzée ne s’était pas endormi.  Le vieil homme aimait aussi la femme de Kanambe. Il l’avait déjà aimé depuis longtemps, tellement, elle était une jolie dame. On l’avait exfiltré la femme de Kanambe, descendant avec elle jusqu’au port de WIMBI sur le lac TANGANYIKA.

20. Ils traversèrent et allèrent mettre la femme de Kanambe au centre-ville de KIGOMA, district de KAZURU. Donc on l’installa là-bas, Mzée n'avait pas fermé les yeux, et il prit la femme [Kanambe] avec sa grossesse. Il l’avait aidé à prendre soin de la grossesse et peu de temps après, elle alla accoucher à Dar es Salam. C’était un bébé garçon.

21. A son retour, le bébé était déjà né, vous pouvez imaginer, c’est lui le président ici au Congo. Eh bien, le frère a fait grandir l’enfant comme son propre fils. Il termina l'école à Dar es Salam. Quand il avait fini l'école à Dar es Salam, il resta là. Il était connu comme fils de qui? KABILA.
22. Alors le vieil homme retourna sur les montagnes, là où il faisait son commerce. Chercher l’or, les ivoires, peaux de léopards et traverser en Tanzanie pour les écouler. A son retour, il [achetait] des souliers, des habits qu’il nous amenait dans la forêt.

23. Apres cela comment les choses s’étaient-elles passées ? Il y avait eu une grande boîte qui était gardée par toute une équipe. La boite avait deux mètres. Elle était gardée par de [16] soldats. Il avait ramené cela de la Tanzanie, en passant par le port de WIMBI jusqu’à Hewa Bora.  Quand il était en Tanzanie avec la femme de Kanambe, la boite était là.

24. En ce moment que nous étions là, les commandos de l’Infanterie vinrent nous attaqué à partir de KILEMBWE. Nous commencions à nous battre pendant trois jours. Ils nous attaquèrent si dangereusement qu’ils faillirent prendre la boite. C’était étonnant de la part du gouvernement. Vous qui avait cette audio, veuillez la partager avec tous les fils du Congo, quand bien même, moi  qui vous parle, je suis Rwandais.

25. Alors le temps était arrivé, pour voir ce que la boite contenait pour n’est pas tombé victime pour rien. La boite était métallique et on nous avait dit qu’il y avait des munitions qui pouvaient nous aider à nous battre et conquérir le pays. Pourquoi pas ne pas briser la boite, prendre ce qui pouvait nous aider à combattre les commandos ou l’infanterie ? Iyombo, Kalukula,  Masoso, et Bandi Ya Inga était tous présent. Ils firent appel aux gardes et on leur dit que la guerre était difficile. Nous devrions briser la boite retirer ce qui pouvait nous aider à nous battre. Par ce que « où est Mzée ?» Il était à KIGOMA.  Pour ce que nous [possédions] quelque chose, nous chercherons [de quoi nous aider] à l'intérieur et nous combattrons la bataille.

26. Briser la boite était un grand travail, un travail difficile. Au moment qu’ils en vinrent au bout, il s’avéra que la boite ne contenait que des pierres et fer a béton mais également du sable du lac TANGANYIKA qui en était enfermes. Que c’était décevant car Mzée nous avait dit qu’il y avait une arme terrifiante que nous allions utilise en guerre.

27. Alors les gens furent envoyés à Hewa Bora III. « Allez briser la [cache d’armes] et amenez nous les armes et les minutions pour que ça nous aident ici ». Les gens qui étaient partis, retournèrent avec des armes et munitions. Nous commencions à nous entraider pour combattre. Nous les  repoussions jusqu’à l’entrée de Vitongo. Nous les forcèrent de descendre jusqu’à Kilembwe et puis nous rebroussions chemin.

28. Après quelques jours, frère KABILA fut de retour. On se mit à lui relater les cours d’évènements. Lui disant que la boite à armement avait été brisée. Mzée s’exclama. « Donc les blancs m’ont menti. Alors qui a donné l’ordre d’ouvrir la boite ? ». Iyombo se mit debout, je me mis debout ensuite Bandi Ya Inga, Masoso Kalukula  et Masengo également. « Nous avions brisé la boite mais il n’y a rien dedans ».

29. Du fait qu’il n’y a pas d’armement, depuis aujourd’hui la guerre est finie dans la zone de FIZI. Si vous avez peur d’être attrapé, nous allons descendre avec vous jusqu’au lac pour que vous traversiez vers la Tanzanie et vous installiez dans la ville. Nous allons rester ici, chercher et  rencontrer les autres pour quitter [la forêt].

30. Notre première rencontre s’était passée à KAMBYA, entre le gouvernement du Zaïre et le PNP. Nous nous rencontrions là-bas, se disant la vérité avec honnête mais avec un peu de mensonge. Ils retournèrent. La deuxième rencontre eut lieu et où nous présentions une charte, dans laquelle nous demandions de voir le président Mobutu, au moment où nous nous rendions à LYOPO.

31. Cependant, dès qu’on entendait Rebel, on tranchait la tête ou l’on tuait simplement. Un peu de soupçon, on était tué. De ce fait nous n’allions pas quitter pour se faire arrêter par le gouvernement, nous devrions savoir comment sera notre sécurité.

32. Maintenant c’était bon car le Seigneur nous avait aidés et cela devait être fait maintenant. Le Gouvernement du Zaïre avait trouvé qu’avec notre reddition, ils allaient respirer et le pays allait avancer.

33.  « En ce moment où était Mzée [Kabila] ? » Il avait déjà traversé le lac, pour se rendre là où se trouvait la femme de Kanambe qui était enceinte à Dar Es Salam et dont le fils est le président actuel.

34. Alors, le temps n'est pas trop long. Lui-même il avait entendu les nouvelles de Muzingire, nous étions appelé Muzingire Mwana Mbinza, à cause du fait que nous étions [comme] un petit poisson qui allait avaler un grand poisson. C’était cela la signification de Muzingire, le parti PNP avec Kabila président.

35. C’est ainsi que tout avait évolué, notre union progressa, nous tous quittions la forêt et Nous allions rencontrer les [services] du gouvernement de Mobutu. Je pense que Bandi Ya Inga était mort à Kalemie dans le camp Maré. Le Camp Maré était à côté de FILTISAF. C’est à Kalemie qu’il était décédé. Masoso était retourné chez lui à Kalukula. Et les autres s’étaient éparpillés et nous nous séparions en ce temps-là.

36. Ce qui est étonnant maintenant, ce que je suis Rwandais. Et j’affirme que cet enfant (entendez Joseph Kabila) est notre enfant. Nous affirmons également que le pays est dans la main de notre enfant. Et celui qui nous fait tuer, c’est bien lui. C’est lui qui nous fait  blesser.

37. « Nous, les Rwandais, pourquoi devons-nous continuer avec ce Kabila ? Est-ce qu’il nous pleure ?  Il quitte Kinshasa et part à Lubumbashi et de Lubumbashi, il retourne à Kinshasa ». C’est serait  mieux qu’on se mette assis. Laissons tomber ces agissements. Parce que vous montiez ou descendiez ou vous alliez je ne sais où, KANAMBE XAVIER était un Rwandais, sa femme était une Rwandaise. Elle avait mis au monde un enfant appelé KABILA pour brouiller le nom de KANAMBE pour qu’on ne puisse pas connaitre ses origines rwandaises.

38. Malgré que nous puissions monter, descendre, il n’y a personne qui a plus de droit qu’un enfant natif du pays. Personne !

39. Mes frères, je voudrais vous dire que, le jour que les Congolais vont prendre leur pays en main, nous les Rwandais, nous allons nous chercher. Nous allons nous chercher comme [avec une loupe]. Nous ne sommes pas nombreux, nous sommes peu. Et l’on se bat contre les enfants du pays. Nous n’avons rien entre nos mains aujourd’hui.

40. Malgré que nous soyons blessés, KABILA dort très bien. Malgré que nous soyons blessés, les autres leaders dorment très bien. Pourquoi ne laissons-nous pas tomber cette politique ? Que nous puissions renter chez-nous là où nous sommes venus.

41. C’est bien ça, le récit de la naissance de [Joseph] KABILA. Maintenant, je viens rendre cela publique parce que je suis déjà sauver, et je sais que nous avons déjà versé du sang de nombreuses personnes. Quand vous avez versé beaucoup de sang, que faut-il faire maintenant ? Il faut voir et laisser tomber cette pratique. Regardons comment nous mettre assis pour que nous abandonnions les aventures dans lesquelles nous nous retrouvons, nous les Rwandais.

42. Même quand nous parlons dans cette audio, nous faisons quoi et quoi d’autres, les fils du pays sont assis [explorant] voies et moyens. Ici ou nous sommes à Minembwe, nous sommes dans les montagnes. Là-bas à FIZI, il n’y a aucun endroit où nous pouvons nous refugier.

43. « Ne savez-vous pas, cher frères rwandais, que le délai est proche ? ». Parce que le président KABILA a du sang et une peau humaine. « Ou est MOBUTU ? Ou est LUMUMBA ? »  Les [BELGES] étaient ici, ils se sont accrochés, ils ont fait leur chose, allant jusqu’à tuer LUMUMBA et beaucoup d’autres choses. « Ou en sont-ils maintenant ? » Delà même façon, ce jeune homme, qu’il dorme, ou s’il mourrait — je ne souhaite pas qu’il meurt — ou allons-nous partir ?

44. S’il meurt en ce moment et que nous soyons à MINEMBWE et nous apprenions que le pouvoir est dans la main d’un natif Congolais, nous allons nous chercher chers frères Rwandais. Chers frères Rwandais, nous allons nous chercher dans ce pays.

45. Laissons ces actes honteux, laissons tomber. Si nous devons être appelé étranger, nous allons accepter au lieu d’être blessé. Si nos frères congolais vont cracher sur nous, c’est leur pays. Calmons-nous, ça n’augure rien de bon.  « En quoi KABILA lui-même dépassé Emery Patrice Lumumba qui est mort pour son pays. En quoi dépasse-t-il Mobutu qui est mort pour son pays ? ».

46. Comme maintenant on lui chante de chansons qui relate les crimes qu’il a perpétrés en RD Congo, quand ils vont eux-mêmes prendre leur pays, et si on vient m’arrêter moi Rwandais. « Je n’étais pas présent quand cette politique était conçu ; la ou les autres choses se sont passées, je n’y étais pas et je serais blessé pour rien. J’ai sacrifié les enfants, je n’ai rien à faire ».

47. « Moi j’étais avec ces gens en forêt, je les connais très bien. Nous nous sommes battus dans toute cette zone de FIZI. Ce sont des hommes [farouches]. Attendez voir ce qui se passait ici ».

48. Chers frères Rwandais, laissons tomber. Ce n’est pas bien. Laissons ce que nous sommes en train de faire, ce n’est pas bien. Je connais très bien cet enfant appelé KABILA, c’est un enfant du grand frère Kanambe Xavier, je le connais très bien. Parce que quand Kanambe est mort, j’étais présent, Quand KANAMBE a laissé sa femme enceinte, j’étais là. Quand nous avons descendu avec sa femme à  WIMBI pour la mettre [à l’abri] je faisais partie de ce voyage. Quand nous sommes rassemblés en réunion, j’étais présent.

49. Mais maintenant, que faisons-nous ?  Il vaut mieux que nous laissions les Congolais avec leur pays. Ils cherchent le droit, ils cherchent la vérité. Nous sommes entrés ici en changeant des noms. Ce nom-là jusqu’à présent est un territoire de Bafulero. Une montagne de  Fulero que nous avions pris  pour être notre nom, un mensonge total qui ne sert pas.

50. Mettez les mains en l’air, que vous soyez armé, qu’allez-vous faire, qu’allez-vous faire ? Brutaliser un enfant du pays et l’exterminer demande la justice. En frappant l’enfant du pays, vous serez recherché partout où vous serrez. Je connais très bien cette forêt de Minembwe. Et ces frères Bembe la connaissent très bien.

51. Un jour et à minute près, nous allons nous chercher ici à Minembwe avec nos vaches. Nous allons nous chercher. Il vaut mieux suivre le droit ; il vaut mieux laisser ces autochtones avec leur pays. Il vaut mieux que nous mettions nos mains en l’air, et que nous déposions les armes que nous avons  et attendions comment la justice qui sera adjudiqué.

52. « Nous tous ici au Congo, devons mourir à cause d’une seule personne ? Que tous les Rwandais au Congo meurent à cause d’une seule personne ? »

53. C’est quoi ça cher frères rwandais. Mettez-vous assis et stoppez la guerre.  Déposons nos armes par terre et unissons-nous. Si nous sommes étrangers, nous sommes étrangers. Et nous affirmons que nous sommes étrangers. Le président est étranger dans ce pays du Congo parce qu’il est né d’un Rwandais. Sa maman est rwandais, son grand père paternel est Rwandais, son grand-père maternel est Rwandais. Sa maman était également une Rwandaise.

Au revoir, chers frères. Jésus ne sera pas avec vous parce que vous avez bafoué le droit des autres. Respectez les droits des autres même si vous vous accrocher à ce pays qui ne vous appartient pas. Laissons mes chers frères Rwandais partout ou vous êtes, écoutez cette histoire. Ne vous accrochez pas au nom. Le nom [Banyamulenge] n’est pas un pays. Que mes salutations aillent aux Congolais, et que tous les Rwandais partout où ils sont au Congo écoutent ce récit. Et personne ne connait cette histoire comme moi.

Ecoutez cette histoire,  ne vous sacrifiez pas pour un nom. Un nom n’est pas un pays. Que mes salutations aillent aux Congolais, propagez ça, a  tous ceux qui sont Rwandais. Et que chaque personne qui est au Congo écoute cette histoire. Personne ne peut me contredire dans cette histoire. J’étais présent pendant que tout se déroulait.

Mes salutations chez vous. Mes frères Rwandais, cessons cette folie, cessons cette ignorance. Merci et que nous soyons uni. Que celui qui va recevoir cette audio la partage. Au revoir,  Je dis cela au Nom de Jésus Christ

LA REDACTION DE CONGOVOX.COM © 14/02/2018

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