Flash, Flash, Flash : Joseph Kabila, Albert Yuma et les Hauts Cadres de la « Sté Égal » bientôt en Prison — source confidentielle IGF

Au moment que le pays traverse une crise économique sans précédente et que la Banque Centrale du Congo est essoufflée, que la vie sociale soit intenable, Joseph Kabila et l’intouchable Albert Yuma, ont continué à piller les caisses de l’État pour extraire le dernier centime.

 

À en croire une source sure d’IGF, l’Affaire 43 millions USD, fonds publics alloués à la « Société Égal », le jeu d’artifice signé par Joseph Kabila et Albert Yuma, n’a pas craché son dernier secret… Tenez.

 

Dans la poursuite des investigations, il revient que les fonds étaient bel et bien sortis de la BCC par le compte RME RawBank pour atterrir dans un compte BGFI Bank, compte séquestre libellé « Sté Égal » apparemment sans que la « Sté Égal » ne soit au courant. D’aucun n’oublie que l’intouchable Albert Yuma est le vrai gérant de la « Société Égal ».

 

Ce compte « Sté Égal » n’est pas reconnu par Égal. Ce compte a été ouvert et mouvementé par BGFI Bank, forcément en direction de Joseph Kabila Kabange comme les autres fonds de la Banque Centrale du Congo.

 

Tous les agents de la BGFI Bank qui ont participé à ces d’opérations noires ont été remerciés avec décomptes finals de 1 à 2 millions USD depuis l’opérateur jusqu’au DG — M. Ramazani Selemami, le demi-frère de Joseph Kabila — et ils sont tous à l’étranger.

 

La BGFI semble soutenir sans convaincre la thèse de « faute détachable », c.-à-d. commise par un agent à titre personnel. Allez y comprendre quelque chose !

 

Joseph Kabila Kabange et Albert Yuma doivent être interrogés, menottés et trainés en prison illico presto. Concernant son demi-frère Ramazani Selemani, l’Interpol doit être immédiatement saisi pour qu’il soit extradé et être écouté par la justice congolaise.

 

Le temps d’une justice à double vitesse, c.-à-d. partielle et sélective, est fini et doit céder la place à une justice neutre, impartiale ou personne n’est au-dessus de la loi.

 

À bon entendeur, salut.

 

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