Le secrétaire général du Sénat a ouvert ce mardi 14 mai la session inaugurale de la Chambre haute du parlement.

Parmi les points à l’ordre du jour de la plénière figurent l’appel nominal des sénateurs et l’identification du sénateur le plus âgé et des deux plus jeunes devant constituer le bureau provisoire du Sénat.

Deux personnes ont été tuées dimanche 12 mai dans le village de Lutandula dans le secteur de la Lufira a environ 80 kilomètres de la ville de Lubumbashi.

D’après des sources militaires, des présumés miliciens Bakata Katanga ont attaqué dimanche tôt le matin une position du deuxième bataillon des FARDC dans le village de Lutandula. Ces assaillants ont tué un sergent et un agent du Service national, indique la même source.

De violents combats opposent, depuis ce mardi 14 mai, l’armée congolaise aux rebelles du M23 autour de l’agglomération de Kikuku, dans le territoire de Rutshuru. Ces affrontements ont débuté à 5 heures du matin. 

Des sources locales et proches des groupes armés locaux parlent des bombardements des FARDC qui ont atteint plusieurs positions des rebelles près de Kikuku. Une artillerie lourde du M23 aurait été détruite, indiquent ces sources. 

Les ADF ont tué onze civils et incendié plusieurs maisons durant la nuit de lundi à mardi 14 mai à Ndimo, sur l’axe-Komanda-Luna dans le territoire d’Irumu (Ituri).

Selon des sources locales, les assaillants ont ouvert le feu sur les habitants et incendié des maisons. Parmi les victimes, il y a deux femmes et un homme qui ont été calcinées dans leurs habitations.

Les députés provinciaux des territoires d’Opala et d’Ubundu, dans la province de la Tshopo, dénoncent la résurgence des tueries entre les peuples Mbole et Lengola alors que les hostilités avaient déjà cessé. 

Dans la province du Nord-Ubangi, le territoire de Yakoma est le théâtre d'une montée de tensions sociales et de conflits non résolus, alimentant ainsi l'insécurité. Chaque semaine, plusieurs cas de justice populaire sont signalés dans diverses localités, suscitant l'inquiétude de la société civile. Elle lance un appel aux autorités provinciales et nationales pour qu'elles interviennent afin d'éviter une escalade.

Christophe Mboso et Antipas Mbusa Nyamwisi, deux ténors de la majorité parlementaire sont en compétition pour le poste de deuxième vice-président du bureau définitif de l’Assemblée nationale. 

La presse parue à Kinshasa ce mardi 14 mai, revient sur le processus de mise en place des bureaux définitifs de l’Assemblée nationale et du sénat. Les tabloïds kinois s’intéressent également à un rapport de deux ONG dénonçant des irrégularités dans le contrat de construction du marché central de Kinshasa.

Les axes routiers Bunia-Mongwalu et Bunia-Mahagi, dans la province de l’Ituri, connaissent, depuis janvier dernier, une stabilité sécuritaire.

Selon des sources locales, aucune attaque des miliciens ou enlèvement n’est enregistré depuis le début de cette année sur ces tronçons de la route nationale numéro 27.

Autorité morale de l’Union pour la nation congolaise (UNC), Vital Kamerhe est le candidat unique à la présidence du bureau définitif de l’Assemblée nationale.

Le bureau provisoire de la chambre basse du Parlement l’a révélé, à la clôture ce lundi 13 mai de la réception des dossiers des candidatures des futurs membres de ce bureau.

L’actuel ministre de l’Économie, Vital Kamerhe a assuré que le peuple sera bien représenté au sein de l’hémicycle.

Les conducteurs des taxis et taxis-bus de la ville de Kinshasa ont, depuis quelques semaines, doublé de manière unilatérale le prix de courses des différents trajets.

Se livrant ce lundi 13 mai à Radio Okapi, ces conducteurs exigent jusqu’à 2000 francs congolais ou plus pour une course qui coutait 1000 francs congolais.

Des Kinois ont cependant dénoncé la pratique dite de "demi-terrain" notamment pendant les heures de pointe.

Environ 2 144 personnes ont été tuées et plusieurs dégâts matériels enregistrés depuis l’instauration, en mai 2021, de l’état de siège, en Ituri.

La coordination provinciale de la société civile a présenté ce bilan, vendredi 10 mai, lors d’une assemblée générale organisée dans le cadre de la commémoration des trois ans de l’Etat de siège.

Le Réseau des organisations non gouvernementales des droits de l’homme (REPRODHOC) a plaidé, le week-end dernier, pour l’amélioration des conditions carcérales au Kasaï-Central.

Le président de cette structure, Arthur Padingani a fait ce plaidoyer après avoir fait un monitoring dans les prisons de cette province notamment celle de Kananga :